Tout savoir sur l’assurance vie
La compréhension
de ce qu’est une assurance vie est souvent mal perçue par les particuliers de
nos jours. En effet, la seule catégorie de ce type de placement que l’on
connait sur le bout des doigts est l’assurance décès. Et pourtant, il existe
plusieurs types de cette assurance. Il importe donc de savoir quelles sont les assurances vies qui vous sont ouvertes
et comment faire pour y avoir droit.
Quels types d’assurance vie vous
intéresse-t-il ?
Outre l’assurance décès, on peut recenser 7
types d’assurances vies que l’on peut contracter auprès des banques et des
agences. Parmi elles, on ne fera mention que des 4 placements les plus intéressants
et les plus méconnus des particuliers.
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L’assurance
placement : elle
constitue une bonne alternative pour assurer l’avenir de votre famille ou de
toute autre personne cher à vos yeux. Il s’agit d’un contrat avec une date
limite de libération des fonds. Après avoir déposé une prime tous les mois, à
la fin de l’engagement, que vous soyez en vie ou non, les fonds seront libérés,
soit à votre compte ou pour celui d’un bénéficiaire de votre choix. Trois
alternatives sont à disposition pour ce type d’assurance. Un bon d’assurance
qui ouvre la porte à un taux d’intérêt ; un contrat d’assurance-vie à-fonds
d’investissement et une assurance neutre qui combine les deux.
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L’assurance
revenu garanti : cette
forme de garantie semble aussi être une excellente idée de placement. Elle peut
vous aider en cas de perte de revenu pour cause d’invalidité physique ou psychologique.
À titre d’information, la rente, pour ce genre d’assurance, peut atteindre les 80 %.
Bien sûr la somme qui vous sera versée se fixera en fonction du degré de votre
sinistre.
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L’épargne
pension : il s’agit d’une
assurance complémentaire qui peut venir s’ajouter à votre pension actuelle. En
contractant sur le long terme, vous pouvez commencer votre prime à n’importe
quel âge pour pouvoir toucher une prime pour le capital décès et un taux
d’intérêt allant jusqu’à 3,75 % à l’âge de 60 ou 65 ans.
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L’assurance
Universal life : elle
semble également être une bonne idée de placement. Considérée comme étant une
assurance à durée indéterminée, elle reprend à la fois les principes de
l’épargne pension tout en permettant une libération des fonds à un tiers
bénéficiaire si le preneur d’assurance décède avant la fin du contrat. Un des
avantages de cette assurance est la libre disposition des fonds. En effet,
contrairement aux autres types de placement, il est possible de libérer les
sommes à tout moment si le preneur d’assurance en en a besoin.
Comment contracter une assurance vie ?
Les assurances vies sont des contrats établis
entre un prestataire de service et un particulier ou une entreprise, appelé
communément dans ce secteur comme étant des preneurs d’assurance. Pour y
prétendre, il est donc utile de prendre contact avec une agence d’assurance ou
une banque.
Des documents
d’informations sont d’ailleurs disponibles sur les sites de ces derniers qui
vous livrent les informations nécessaires pour la conclusion d’un contrat
d’assurance vie. Que ce soit pour demander des renseignements sur les produits,
trouver les documents utiles ou pour signer des papiers, les conseillers des
agences restent à votre entière disposition.
Qu’est-ce qu’une assurance décès ?
Assez sous-estimée
par les particuliers, l’assurance décès
est en train de prendre de l’ampleur. Vous vous demandez à quoi sert de
conclure ce type d’assurance ? La réponse la plus usitée pour vous
éclairer est certainement : « pour mettre ses proches à l’abri ».
Vous voulez vous aussi profiter de cette police ? Il n’y a rien de plus
simple. Il suffit de passer dans une agence d’assurance et de signer un
contrat.
Assurance décès : ce que le contrat
implique ?
Le
terme « assurance décès » n’est pas encore connu des particuliers.
En effet, dans la vie quotidienne, elle est considérée comme étant « une assurance vie ». Conclure ce type
d’engagement implique le versement d’une prime mensuelle ou trimestrielle ou
même annuelle dans un fonds. Ce dernier ne sera ouvert qu’après le décès de son
souscripteur. Le versement d’une rente, d’un capital ou d’une somme d’argent
intervient alors en ce moment là au bénéfice de l’ayant droit. Ce type de
contrat mentionne toutefois dans ses clauses un certain nombre d’exclusions
notamment en cas de meurtre du souscripteur par l’ayant droit, de suicide du
souscripteur durant la première ou seconde année du contrat, de non-versement
de prime, ou encore de mensonge délibéré du souscripteur de son état de santé.
L’assurance décès se caractérise
aussi par sa double nature. En effet, elle peut être temporaire ou bien valoir
pour la vie entière.
Pourquoi souscrire une assurance décès
La souscription
d’une assurance décès est utile dans la mesure où elle
permet à l’assuré de mettre ses proches à l’abri du besoin au cas où celui-ci
décèderait. Suite à la survenance d’un événement tragique tel que l’invalidité
ou la mort du souscripteur, le versement de capital a lieu au profit des ayants
droits. En fonction des types de contrats, le versement d’indemnités peut
s’effectuer en cas d’accident voire de maladie (sous réserve de ne pas être
malade au moment de la souscription). Certains assureurs proposent même
l’inclusion d’une rente éducation comme quoi, en cas de décès ou d’invalidité
de l’assuré, ses enfants puissent bénéficier d’un certain appui financier dans
le cadre de la poursuite de leurs études. Un autre point intéressant réside en
ce que le contrat permet une prime évolutive et variable.
Comment tirer parti d’un contrat d’assurance
décès ?
Il faut savoir
que plus un contrat d’assurance
décès est vieux, plus il rapportera. Pour ce qui est de la valeur totale de la
somme à libérer lors de votre décès, tout dépend de la prime que vous aurez à
verser et son placement par votre assureur. Il faut donc prendre soin de
choisir un partenaire fiable et efficace pour gérer le capital de votre
assurance.
Par ailleurs,
pour ne pas avoir à épargner pour le bénéfice de votre prestataire de service,
pensez à comparer les frais de gestion, les frais d’entrée, les frais
d’arbitrage et les participations aux bénéfices proposées par les agences.